Une semaine en folie

Depuis le début et même avant, samedi déjà le ton était donnée.. quelques courses en vitesse, bébé aux nageurs le matin ,confiance pour laisser le moyen sur la garde de la grande,deux copains à déjeuner,grands parents pour le goûter, de linge à finir de séparer, des leçons a réviser...une poésie à apprendre..même pas le temps de donner quelques coups de brosse à une toile criant être finie dans son coin.

Dimanche pas mieux..vraiment des enfants malheureux .. invitées à gauche et à droite, une partie de ballon, une sortie en poussette, du soleil, un apéro en terrasse ...la poisse..quoi! ;-)



Lundi..reprise pour tous, une copine qui me parle de son amie: blonde à forte poitrine veut cours de conversation espagnole, une autre copine de l'amie qui veut aussi, motivation, engagement, rdv pris pour mardi soir dans une vieillotte maison pleine de charme au milieu des étages, une quiche au jambon aux bras, du vin rosé pour les autres... peinture le matin, nounou pour petit Dadou :adorable!! elle à dit, lui il se jette dans mes bras des mon arrivé et il me croque le menton avec ses mini-dents de requin. Pour le cours, lundi à dix heures, deux élèves et un peu de finances en perspective..histoire de payer à mon tours mes cours ou la moitié de la garde de Dadou!



Pas le temps de rependre le tricot, juste de trier des papiers, du linge s'échappe de la table à repasser, des armoires, de la corbeille dans la buanderie, le fer crie au chômage, la fille réclame son chemisier mauve... moi? puis je bramer secours ?

Une réunion de parents d'élèves au collège de la grande, un dépôt d'essence à remplir, des feuilles à déposer, trois coups de fils à passer, une halte pour attraper un poulet rôti entre un midi et deux.

Mercredi de foot pour Vivi.. en vitesse , du retard, recherche de place au parking, la course avec bébé au bras, le regarder jouer , un déca avec une copine, un saut au coeur d'un entraîneur, de la peur dans le regard, affolement,pompiers ..ambulance.. le sac de la copine coincé dans la tête du malheureux: 38 ans et une pile au coeur depuis huit ans, je lui avait dit à peine une demie-heure avant que lui criant un peu trop, il paye un peu tôt.

Puis repas, rapide et c'est reparti et sans mars , un anniversaire pour Vivi, je laisse la famille pour l'accompagner, je me suis proposé pour aider à surveiller et organiser l'évènement : plus de trente cinq gamins, une cacophonie sans répits .... des bobos des gagas, une vielle ligoté, des branches cassés, des gateaux et des jeux d'enfant.

Des nuits courtes aussi, des journées de 19 heures et pas le temps pour blogger!

allez... je repars ...