True colors : la liberté

J ne parle pas politique, ou très rarement, il a toujours des conflits, des gens qui sont là pour se remplir le poches a cause du contribuable, qu'il soit du partie qui soit, après il y a des idées que je préfère a d'autres, ce certain, et des personnages que j'arrive a trouver touchants, comme d'autres odieux, je vous dis tout ça, avant de poster ce true colors de la semaine, parce que j'ai choisi , les paroles d'une chanson de Michel Fugain: le chifon rouge,  juste parce que j'aime son histoire, que ses mots me parlent aussi parce que je pense a touts ce qui se battent contre l'injustice des classes , et que pour cette participation pour Nikit@ ça tombe pile poil, pas pour qu'on me catalogue de communiste , puisque je n'adhère pas a aucun parti politique.

Le Chiffon rouge

Accroche à ton cœur un morceau de chiffon rouge
Une fleur couleur de sang
Si tu veux vraiment que ça change et que ça bouge
Lève-toi car il est temps

Allons droit devant vers la lumière
En levant le poing et en serrant les dents
Nous réveillerons la terre entière
Et demain, nos matins chanteront

Compagnon de colère, compagnon de combat
Toi que l'on faisait taire, toi qui ne comptais pas
Tu vas pouvoir enfin le porter
Le chiffon rouge de la liberté
Car le monde sera ce que tu le feras
Plein d'amour de justice et de joie

Accroche à ton cœur un morceau de chiffon rouge
Une fleur couleur de sang
Si tu veux vraiment que ça change et que ça bouge
Lève-toi car il est temps

Tu crevais de faim dans ta misère
Tu vendais tes bras pour un morceau de pain
Mais ne crains plus rien, le jour se lève
Il fera bon vivre demain

Compagnon de colère, compagnon de combat
Toi que l'on faisait taire, toi qui ne comptais pas
Tu vas pouvoir enfin le porter
Le chiffon rouge de la liberté
Car le monde sera ce que tu le feras

Plein d'amour de justice et de joie

 

Pour son histoire  :

C'est, en 1977, lors d'une grande fête populaire au Havre, intitulée "Un jour d'été dans un Havre de paix", qu'est née la chanson "Le chiffon rouge". Interprétée par Michel Fugain, donc il a écrit la musique, les paroles étant de  Maurice Vidalin elle sera adoptée par les mineurs lorrains en lutte contre les licenciements massifs dans la sidérurgie et deviendra vite célèbre dans le milieu ouvrier.