Petits maux d'hiver en famille

L'hiver n'est pas une rivière longue et tranquille à traverser, et si en plus il y a de la générosité dans la famille et qu'on a le sens du partage, le virus petit cadeau qui rentre sans taper , s'incruste et fait le tour de la maison, même que par fois il squatte et peu rester des jours,des semaines parmi nous, sautant d'un a l'autre comme si nous étions des chevaux de foire !

Voilà qu'après un rhume de Dr.H qui a sauté dans les bras de MissDidi ... mais pas trop longtemps, c'est transformé  un peu , est devenue un peu plus fort et si le nez qui coule , les jambes qui cafouillent, et la tête qui tournent  ,  ne lui suffisaient pas comme casseroles a trimballer, il s'acouple d'un maux de ventre et des nausées nocturnes comme diurnes, décidément rien ne lui fait peur a ce petit virus  : charmant !.

Et bien sur , il m'a collé au baskets... j'essaie de courir pour le laisser derrière, mais que nenni : même pas
Manoudou  aurait pu échapper dans son bassin , il est coriace et me poursuit depuis deux bonnes journées, je suis armée : Phloroglucinol ( générique de l'spasfon) et du Paracétamol sont devenues cohabitants de la poche droite de ma veste d'intérieur, mes voisins pensent qu'il y a des mouvements terrestres dans le lotissement : tu parles : j'ai des frissons à faire pâlir d'envie dix-huit échelles de Richter!

Le problème ce que quand tu es maman, tu n'a pas trop le droit de tomber malade ! il faut assurer, du coup je me balade par fois avec un masque de bricolage anti-poussières que j'ai trouvé au garage - collection automne printemps 2007 de chez Confo- ce qui fait plutôt fuir mon nain qu'autre chose : -- ahhh a por a por ( traduction: Bordel!!! maman ! tu me fais peur avec ça collé sur ta tronche!) , mais oui, mais il vaut mieux créer un petit traumatisme que une grosse bronchiogastrorhumefoide ( ne cherche pas dans le Vidal ...) qui va l'empêcher de dormir les nuits et à moi aussi par la même occasion et déjà) que je ne dors pas trop...

Pourtant il fait froid : le froid devrait tuer touts ses microbes et virus qui se baladent .. a moins qu'eux aussi ont découvert le thérmolactyl...misère ... alle ça ira mieux dans trois mois...



Le petit bonus:...

1. Les virus : les plus petits et les plus fréquents

Les virus sont à l'origine des infections les plus fréquentes. Si nous savons en maîtriser beaucoup, certains sont plus coriaces...

Quel est leur mode d'action ?
« Le virus est dépendant de son hôte. Il ne peut se répliquer qu'en utilisant la machinerie d'une cellule vivante. En intégrant ses propres gènes, il modifie le programme de la cellule pour se reproduire et en infecter d'autres », explique le biologiste Christophe d'Enfert.

Quelles maladies peuvent-ils causer ?
Ils sont à l'origine des rhumes, rhinopharyngites, gastro-entérites, de la plupart des angines, mais aussi des varicelles, rougeoles, herpès, grippes, hépatites. D'autres, très dangereux, causent la rage ou la variole, dont on sait se protéger grâce aux vaccins. Ce qui n'est pas le cas contre le virus du sida ou Ebola.

Quelles sont nos armes ?
La première, c'est l'immunité naturelle que nous développons au fil du temps. Une fois que notre organisme a rencontré un virus, il sait comment répondre : on développe ainsi rarement deux fois la varicelle. « Pour lutter contre les plus dangereux, celui de la poliomyélite par exemple, nous avons recours aux vaccins. On présente alors un virus inactivé au système immunitaire pour qu'il apprenne à se défendre. Néanmoins, certains, comme la grippe, mutent très vite. Il faut donc se revacciner tous les ans », précise le spécialiste.

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